Dans cette deuxième fiche de sa série pédagogique, France Mobilité Biogaz analyse une nouvelle idée reçue qui revient souvent dans les débats sur la décarbonation des transports : le BioGNV serait un carburant du passé.
C’est tout l’inverse.
Le BioGNV est :
– décarboné : il divise par 5 les émissions de gaz à effet de serre par rapport au gazole (en analyse de cycle de vie),
– propre : il émet -80 % de particules fines, -50 % de NOx,
– souverain : issu de ressources locales, à base de déchets, sans concurrence avec l’alimentation,
– économiquement viable : le surcoût à l’achat des véhicules est modéré et le prix du carburant se compare à celui du gazole, ce qui en fait un carburant compétitif,
– adapté à de larges usages : bus, camions, livraisons, chantiers, matières dangereuses, jusqu’au transport exceptionnel.
Plébiscité par les transporteurs et les chargeurs, il est aujourd’hui la 1ère alternative au gazole pour le transport lourd. S’il n’est pas seul à pouvoir décarboner le secteur, il a toute sa place aux côtés de l’électricité, des biocarburants liquides et de l’hydrogène.
Pour aller plus loin, découvrez la fiche #2 dans son intégralité :